Tout d’abord, la colère est une émotion intelligente. En fait, c’est une émotion dite « archaïque ». Ce mécanisme de défense nous permet parfois de nous en sortir dans des situations difficiles, voire, de survivre. D’ailleurs, je remarque souvent qu’elle peut nous porter préjudice si nous n’avons pas conscience de notre manière de l’exprimer.
En ce sens, la colère nous sert seulement si nous l’utilisons à bon escient. En effet, comprendre ses caractéristiques, ses critères de manifestation ainsi que le rôle qu’elle peut jouer dans nos vies, nous aidera à l’accueillir. Par exemple, nous pourrons être plus vigilant et apprendre à l’exprimer sans agressivité afin de ne plus nous tromper d’adversaire. Parce que, finalement, nous pouvons parfois utiliser la colère contre nous-même.
Effectivement, dans une démarche plus globale, la colère peut faire partie de nos moments de malheur car nous sommes pris dans une émotion désagréable. Et pourtant, ces moments-là sont déterminants pour notre évolution. J’en parle dans cet article que je vous encourage vivement à découvrir, pour décomplexer et déculpabiliser 🙂
1.La colère en psychothérapie:
Comprendre que notre colère est associée à une zone de limite qui peut avoir été franchie par une tierce personne, déculpabilise. D’abord, je pense que nous vivons tous, au moins une fois dans notre vie, un scénario dans lequel nous avons ressenti de la colère au point de nous emporter, sans trop comprendre pourquoi. Cette colère peut se résumer à un schéma inconscient selon lequel nous croyons que : « L’autre est en train de froisser l’une de mes règles/normes de vie »
Cependant, ce n’est pas forcément la réalité. C’est ce l’on peut interpréter et ressentir d’une situation. En effet, selon David Lefrançois, la colère est reliée à l’orgueil. Il reprend cette phrase que je trouve très intéressante:
« L’orgueil, c’est la dignité des nuls »
L’orgueil empêche de se remettre en question et entretien un cercle vicieux de « victimisation ». D’ailleurs, l’orgueilleux pense que la faute vient de l’autre, de l’extérieur. Il n’a pas forcément tort ! Une situation dépend de deux personnes, mais notre interprétation jouera un facteur-clé dans le scénario que nous nous racontons.
2.Quel besoin derrière la colère?
Pour commencer, je suis partisante du « creuser pour se comprendre ».D’ailleurs, je pense que tout à une explication, et au delà de nous occuper au quotidien, nous comprendre est un réel moyen de revenir à nos fondements. En effet, j’ai bien l’impression que deux cas de figures sont observables. Soit nous ne ressentons pas de colère du tout, soit elle peut être exacerbée. Il peut en découler une communication agressive.
D’ailleurs, cette émotion est un peu perçue comme l’émotion à fuir. Mais en fait, en y réfléchissant, je pense que l’on peut la transformer pour en faire une énergie créative. D’ailleurs, comme tout ce que nous ressentons et manifestons, la colère a quelque-chose à nous révéler de nous-même. Nous n’avons qu’à enquêter pour l’analyser.
Etant donné que notre colère nous sert d’indicateur plus ou moins fiable, ces quelques clés pourront vous être utiles:
1. Tout d’abord, utiliser la communication non violente pour exprimer un besoin, un ressentiment ou une demande. Par exemple, « Je ressens que » ou » Cela me touche que ». En effet, nous ne pourrons nous faire entendre si nous sommes dans un processus d’accusation. La colère exprimée de manière agressive est stérile.
En revanche, entendre, écouter et comprendre l’autre demande une grande capacité d’écoute. Qui devrait, pourtant, être un process des plus normaux.
En effet, j’ai personnellement fait l’erreur, de nombreuses fois, de vouloir communiquer pour « me soulager » alors que j’étais encore en colère et cela n’a jamais été très constructif. Parfois, laisser passer les émotions est le meilleur moyen de régler une situation calmement.
2.Ensuite, nous pouvons nous habituer à canaliser cette énergie en l’utilisant différemment. Par exemple, personnellement, la colère que je peux ressentir me met parfois en mouvement et me permet d’agir. En ce sens, trouver des activités qui nous permettent de nous décharger et nous apaiser quotidiennement: activité physique, activité artistiques, changement de lieux, (ou même, aller crier dans les bois…).
En effet, tout est bon à prendre pour laisser la colère s’exprimer sans pour autant impliquer une tierce personne. Il me semble que certains sports de combat sont orientés en ce sens. Bien-sûr, rien de telle que nous faire épauler par un professionnel quand le trop plein nous encombre vraiment au quotidien et nous empêche d’être serein.
3.De plus, prendre l’habitude de s’observer est essentiel. Par exemple, cela passe par des questions que l’on peut se poser : Pourquoi est-ce que je me mets en colère ? Qu’est-ce que je ressens? Dans quel environnement suis-je? Avec qui ? Est-ce un scénario fréquent ?
Pour cela, je trouve que tenir un cahier de notes où nous indiquons nos états d’âmes, nos prises de conscience et nos avancements, aide énormément. En effet, ceux qui veulent le garder le peuvent, sinon, nous pouvons tout simplement le jeter si nous avons envie que tous nos maux du passés, disparaissent.
3. Comment se débarrasser de la colère ?
Pour commencer, nous pouvons nous apaiser, quotidiennement en adoptant un état d’esprit sain et positif. En effet, c’est un travail de tous les jours, qui nécessite de la volonté. Par exemple, l’inconscient se dompte et des techniques précises existent pour se faire. « Le bonheur est une décision » et ça, même notre colère peut le comprendre 🙂
Par contre, nous avons le droit, qui que nous soyons, de « péter les plombs » et de laisser la colère s’exprimer quand certaines situations nous dépassent. En effet, nous ne sommes ni parfaits ni des savants, dans le contrôle permanent. En ce sens, nous sommes humains et nous jouons avec nos polarités. La colère peut nous faire prendre conscience de nos valeurs et nous aligner avec notre vérité profonde. Pour cela, voici quelques conseils qui me sont utiles:
SE REMETTRE EN QUESTION
Est réellement le moyen de cesser d’entretenir un « scénario répétitif ». En effet, nourrir la colère peut se transformer en haine sur le long terme. Cette haine se retourne forcément contre nous-même. Par exemple, 5 minutes de colère équivaut à 5h durant lesquelles le système immunitaire réduit a néant. De très grandes difficultés émotionnelles apparaissent aussi, par la suite.
« Le cortisol, en masse est un poison pour le corps » David Lefrançois
SE PARDONNER & PARDONNER À L’AUTRE
L’exemple le plus significatif est de mettre de l’amour dans notre vie. Comme dirait Nathalie Lefevre, c’est un « exhausteur de goût ». En effet, ce processus s’apprend car nous avons tous en nous le pouvoir de développer la compassion, l’empathie et l’estime de soi. Ainsi, ce n’est pas parce que l’on nous a pas appris à le faire, que l’on ne peut pas changer les choses. Bien au contraire ! D’ailleurs, je crois que nous devrions apprendre dès notre plus jeune âge, à l’école et en famille, comment prendre soin de nous et des autres. Mais aussi, comment cultiver des relations saines.En ce sens, nous pouvons nous éduquer nous-mêmes, auprès des personnes qui nous inspirent et qui nous font vibrer. Qu’en pensez-vous ?
SE POSER LES BONNES QUESTIONS
Même si nous pouvons ressentir de la colère, nous pouvons décider d’écouter ou non cette part de nous-même. Pour aller plus loin, nous pouvons entamer un travail d’analyse avec ces questions: est-ce mon orgueil, ma bêtise, mes lourdeurs ? Ai-je du ressentiment envers cette personne? Suis-je en colère contre moi-même ? Qu’est-ce qui me soulagerait ?
De ce fait, des réponses viendront automatiquement à vous. Soyez à l’écoute 🙂
ECOUTER SES BESOINS
Afin d’être en harmonie avec nous-même, notre environnement, notre entourage, il est très important de pouvoir connaître nos désirs. En effet, plus nous en avons conscience, et plus nous pouvons manifester la vie de nos rêves dans la matière. En ce sens, toutes les colères, frustrations, blessures refoulées nous encombrent. Par exemple, elles marquent notre corps en se cristallisant. D’ailleurs, faire des entretiens régulier envers nous-même, sans filtre, peut nous permettre de soigner notre santé. De plus, cela nous aide à cultiver des relations saines et de booster l’image que nous avons de nous-même.
ALLER PLUS LOIN
En résumé, nous pouvons tous travailler sur nous-même. En effet, c’est une décision. D’ailleurs, sur le plan énergétique, nous attirons des situations terriblement compliquées lorsque nous entretenons notre colère. Par exemple, elle se manifeste au travers de nos pensées. En fait, nous recevons ce que nous demandons. C’est la réalité quantique ! Donc, nous gagnons vraiment tout à stopper ce processus le plus vite possible pour nous focaliser sur les projets qui nous animent. De toute évidence, notre bonheur est primordial.
Conclusion
« La colère est la meilleure stratégie pour échouer »
En somme, développer des techniques gagnantes au quotidien pour comprendre nos processus internes et changer les choses, nous change.En effet, apprendre à nous exprimer de manière calme et apaisée est un art qui se travaille. De ce fait, considérer l’autre autant que nous considérons nos sentiments est salvateur. D’ailleurs, prendre conscience que tout ce qui résiste, s’imprime en nous, nous aide à cheminer. Alors, relisons les accords toltèques autant de fois que nécessaire. Faisons la paix avec notre passé et les évènements douloureux que nous avons pu vivre. Et, ainsi, vivons heureux 🙂
Je m’appelle Julia et je suis thérapeute. Passionnée par le fonctionnement humain, je suis spécialisée dans l’accompagnement holistique (lien corps/esprit). Je suis actuellement une formation de pratique à la psychothérapie
Tout d’abord, la colère est une émotion intelligente. En fait, c’est une émotion dite « archaïque ». Ce mécanisme de défense nous permet parfois de nous en sortir dans des situations difficiles, voire, de survivre. D’ailleurs, je remarque souvent qu’elle peut nous porter préjudice si nous n’avons pas conscience de notre manière de l’exprimer.
En ce sens, la colère nous sert seulement si nous l’utilisons à bon escient. En effet, comprendre ses caractéristiques, ses critères de manifestation ainsi que le rôle qu’elle peut jouer dans nos vies, nous aidera à l’accueillir. Par exemple, nous pourrons être plus vigilant et apprendre à l’exprimer sans agressivité afin de ne plus nous tromper d’adversaire. Parce que, finalement, nous pouvons parfois utiliser la colère contre nous-même.
Effectivement, dans une démarche plus globale, la colère peut faire partie de nos moments de malheur car nous sommes pris dans une émotion désagréable. Et pourtant, ces moments-là sont déterminants pour notre évolution. J’en parle dans cet article que je vous encourage vivement à découvrir, pour décomplexer et déculpabiliser 🙂
1.La colère en psychothérapie:
Comprendre que notre colère est associée à une zone de limite qui peut avoir été franchie par une tierce personne, déculpabilise. D’abord, je pense que nous vivons tous, au moins une fois dans notre vie, un scénario dans lequel nous avons ressenti de la colère au point de nous emporter, sans trop comprendre pourquoi. Cette colère peut se résumer à un schéma inconscient selon lequel nous croyons que : « L’autre est en train de froisser l’une de mes règles/normes de vie »
Cependant, ce n’est pas forcément la réalité. C’est ce l’on peut interpréter et ressentir d’une situation. En effet, selon David Lefrançois, la colère est reliée à l’orgueil. Il reprend cette phrase que je trouve très intéressante:
« L’orgueil, c’est la dignité des nuls »
L’orgueil empêche de se remettre en question et entretien un cercle vicieux de « victimisation ». D’ailleurs, l’orgueilleux pense que la faute vient de l’autre, de l’extérieur. Il n’a pas forcément tort ! Une situation dépend de deux personnes, mais notre interprétation jouera un facteur-clé dans le scénario que nous nous racontons.
2.Quel besoin derrière la colère?
Pour commencer, je suis partisante du « creuser pour se comprendre ».D’ailleurs, je pense que tout à une explication, et au delà de nous occuper au quotidien, nous comprendre est un réel moyen de revenir à nos fondements. En effet, j’ai bien l’impression que deux cas de figures sont observables. Soit nous ne ressentons pas de colère du tout, soit elle peut être exacerbée. Il peut en découler une communication agressive.
D’ailleurs, cette émotion est un peu perçue comme l’émotion à fuir. Mais en fait, en y réfléchissant, je pense que l’on peut la transformer pour en faire une énergie créative. D’ailleurs, comme tout ce que nous ressentons et manifestons, la colère a quelque-chose à nous révéler de nous-même. Nous n’avons qu’à enquêter pour l’analyser.
Etant donné que notre colère nous sert d’indicateur plus ou moins fiable, ces quelques clés pourront vous être utiles:
1. Tout d’abord, utiliser la communication non violente pour exprimer un besoin, un ressentiment ou une demande. Par exemple, « Je ressens que » ou » Cela me touche que ». En effet, nous ne pourrons nous faire entendre si nous sommes dans un processus d’accusation. La colère exprimée de manière agressive est stérile.
En revanche, entendre, écouter et comprendre l’autre demande une grande capacité d’écoute. Qui devrait, pourtant, être un process des plus normaux.
En effet, j’ai personnellement fait l’erreur, de nombreuses fois, de vouloir communiquer pour « me soulager » alors que j’étais encore en colère et cela n’a jamais été très constructif. Parfois, laisser passer les émotions est le meilleur moyen de régler une situation calmement.
2.Ensuite, nous pouvons nous habituer à canaliser cette énergie en l’utilisant différemment. Par exemple, personnellement, la colère que je peux ressentir me met parfois en mouvement et me permet d’agir. En ce sens, trouver des activités qui nous permettent de nous décharger et nous apaiser quotidiennement: activité physique, activité artistiques, changement de lieux, (ou même, aller crier dans les bois…).
En effet, tout est bon à prendre pour laisser la colère s’exprimer sans pour autant impliquer une tierce personne. Il me semble que certains sports de combat sont orientés en ce sens. Bien-sûr, rien de telle que nous faire épauler par un professionnel quand le trop plein nous encombre vraiment au quotidien et nous empêche d’être serein.
3.De plus, prendre l’habitude de s’observer est essentiel. Par exemple, cela passe par des questions que l’on peut se poser : Pourquoi est-ce que je me mets en colère ? Qu’est-ce que je ressens? Dans quel environnement suis-je? Avec qui ? Est-ce un scénario fréquent ?
Pour cela, je trouve que tenir un cahier de notes où nous indiquons nos états d’âmes, nos prises de conscience et nos avancements, aide énormément. En effet, ceux qui veulent le garder le peuvent, sinon, nous pouvons tout simplement le jeter si nous avons envie que tous nos maux du passés, disparaissent.
3. Comment se débarrasser de la colère ?
Pour commencer, nous pouvons nous apaiser, quotidiennement en adoptant un état d’esprit sain et positif. En effet, c’est un travail de tous les jours, qui nécessite de la volonté. Par exemple, l’inconscient se dompte et des techniques précises existent pour se faire. « Le bonheur est une décision » et ça, même notre colère peut le comprendre 🙂
Par contre, nous avons le droit, qui que nous soyons, de « péter les plombs » et de laisser la colère s’exprimer quand certaines situations nous dépassent. En effet, nous ne sommes ni parfaits ni des savants, dans le contrôle permanent. En ce sens, nous sommes humains et nous jouons avec nos polarités. La colère peut nous faire prendre conscience de nos valeurs et nous aligner avec notre vérité profonde. Pour cela, voici quelques conseils qui me sont utiles:
SE REMETTRE EN QUESTION
Est réellement le moyen de cesser d’entretenir un « scénario répétitif ». En effet, nourrir la colère peut se transformer en haine sur le long terme. Cette haine se retourne forcément contre nous-même. Par exemple, 5 minutes de colère équivaut à 5h durant lesquelles le système immunitaire réduit a néant. De très grandes difficultés émotionnelles apparaissent aussi, par la suite.
« Le cortisol, en masse est un poison pour le corps » David Lefrançois
SE PARDONNER & PARDONNER À L’AUTRE
L’exemple le plus significatif est de mettre de l’amour dans notre vie. Comme dirait Nathalie Lefevre, c’est un « exhausteur de goût ». En effet, ce processus s’apprend car nous avons tous en nous le pouvoir de développer la compassion, l’empathie et l’estime de soi. Ainsi, ce n’est pas parce que l’on nous a pas appris à le faire, que l’on ne peut pas changer les choses. Bien au contraire ! D’ailleurs, je crois que nous devrions apprendre dès notre plus jeune âge, à l’école et en famille, comment prendre soin de nous et des autres. Mais aussi, comment cultiver des relations saines.En ce sens, nous pouvons nous éduquer nous-mêmes, auprès des personnes qui nous inspirent et qui nous font vibrer. Qu’en pensez-vous ?
SE POSER LES BONNES QUESTIONS
Même si nous pouvons ressentir de la colère, nous pouvons décider d’écouter ou non cette part de nous-même. Pour aller plus loin, nous pouvons entamer un travail d’analyse avec ces questions: est-ce mon orgueil, ma bêtise, mes lourdeurs ? Ai-je du ressentiment envers cette personne? Suis-je en colère contre moi-même ? Qu’est-ce qui me soulagerait ?
De ce fait, des réponses viendront automatiquement à vous. Soyez à l’écoute 🙂
ECOUTER SES BESOINS
Afin d’être en harmonie avec nous-même, notre environnement, notre entourage, il est très important de pouvoir connaître nos désirs. En effet, plus nous en avons conscience, et plus nous pouvons manifester la vie de nos rêves dans la matière. En ce sens, toutes les colères, frustrations, blessures refoulées nous encombrent. Par exemple, elles marquent notre corps en se cristallisant. D’ailleurs, faire des entretiens régulier envers nous-même, sans filtre, peut nous permettre de soigner notre santé. De plus, cela nous aide à cultiver des relations saines et de booster l’image que nous avons de nous-même.
ALLER PLUS LOIN
En résumé, nous pouvons tous travailler sur nous-même. En effet, c’est une décision. D’ailleurs, sur le plan énergétique, nous attirons des situations terriblement compliquées lorsque nous entretenons notre colère. Par exemple, elle se manifeste au travers de nos pensées. En fait, nous recevons ce que nous demandons. C’est la réalité quantique ! Donc, nous gagnons vraiment tout à stopper ce processus le plus vite possible pour nous focaliser sur les projets qui nous animent. De toute évidence, notre bonheur est primordial.
Conclusion
« La colère est la meilleure stratégie pour échouer »
En somme, développer des techniques gagnantes au quotidien pour comprendre nos processus internes et changer les choses, nous change.En effet, apprendre à nous exprimer de manière calme et apaisée est un art qui se travaille. De ce fait, considérer l’autre autant que nous considérons nos sentiments est salvateur. D’ailleurs, prendre conscience que tout ce qui résiste, s’imprime en nous, nous aide à cheminer. Alors, relisons les accords toltèques autant de fois que nécessaire. Faisons la paix avec notre passé et les évènements douloureux que nous avons pu vivre. Et, ainsi, vivons heureux 🙂
Je m’appelle Julia et je suis thérapeute. Passionnée par le fonctionnement humain, je suis spécialisée dans l’accompagnement holistique (lien corps/esprit). Je suis actuellement une formation de pratique à la psychothérapie
Tout d’abord, la colère est une émotion intelligente. En fait, c’est une émotion dite « archaïque ». Ce mécanisme de défense nous permet parfois de nous en sortir dans des situations difficiles, voire, de survivre. D’ailleurs, je remarque souvent qu’elle peut nous porter préjudice si nous n’avons pas conscience de notre manière de l’exprimer.
En ce sens, la colère nous sert seulement si nous l’utilisons à bon escient. En effet, comprendre ses caractéristiques, ses critères de manifestation ainsi que le rôle qu’elle peut jouer dans nos vies, nous aidera à l’accueillir. Par exemple, nous pourrons être plus vigilant et apprendre à l’exprimer sans agressivité afin de ne plus nous tromper d’adversaire. Parce que, finalement, nous pouvons parfois utiliser la colère contre nous-même.
Effectivement, dans une démarche plus globale, la colère peut faire partie de nos moments de malheur car nous sommes pris dans une émotion désagréable. Et pourtant, ces moments-là sont déterminants pour notre évolution. J’en parle dans cet article que je vous encourage vivement à découvrir, pour décomplexer et déculpabiliser 🙂
1.La colère en psychothérapie:
Comprendre que notre colère est associée à une zone de limite qui peut avoir été franchie par une tierce personne, déculpabilise. D’abord, je pense que nous vivons tous, au moins une fois dans notre vie, un scénario dans lequel nous avons ressenti de la colère au point de nous emporter, sans trop comprendre pourquoi. Cette colère peut se résumer à un schéma inconscient selon lequel nous croyons que : « L’autre est en train de froisser l’une de mes règles/normes de vie »
Cependant, ce n’est pas forcément la réalité. C’est ce l’on peut interpréter et ressentir d’une situation. En effet, selon David Lefrançois, la colère est reliée à l’orgueil. Il reprend cette phrase que je trouve très intéressante:
« L’orgueil, c’est la dignité des nuls »
L’orgueil empêche de se remettre en question et entretien un cercle vicieux de « victimisation ». D’ailleurs, l’orgueilleux pense que la faute vient de l’autre, de l’extérieur. Il n’a pas forcément tort ! Une situation dépend de deux personnes, mais notre interprétation jouera un facteur-clé dans le scénario que nous nous racontons.
2.Quel besoin derrière la colère?
Pour commencer, je suis partisante du « creuser pour se comprendre ».D’ailleurs, je pense que tout à une explication, et au delà de nous occuper au quotidien, nous comprendre est un réel moyen de revenir à nos fondements. En effet, j’ai bien l’impression que deux cas de figures sont observables. Soit nous ne ressentons pas de colère du tout, soit elle peut être exacerbée. Il peut en découler une communication agressive.
D’ailleurs, cette émotion est un peu perçue comme l’émotion à fuir. Mais en fait, en y réfléchissant, je pense que l’on peut la transformer pour en faire une énergie créative. D’ailleurs, comme tout ce que nous ressentons et manifestons, la colère a quelque-chose à nous révéler de nous-même. Nous n’avons qu’à enquêter pour l’analyser.
Etant donné que notre colère nous sert d’indicateur plus ou moins fiable, ces quelques clés pourront vous être utiles:
1. Tout d’abord, utiliser la communication non violente pour exprimer un besoin, un ressentiment ou une demande. Par exemple, « Je ressens que » ou » Cela me touche que ». En effet, nous ne pourrons nous faire entendre si nous sommes dans un processus d’accusation. La colère exprimée de manière agressive est stérile.
En revanche, entendre, écouter et comprendre l’autre demande une grande capacité d’écoute. Qui devrait, pourtant, être un process des plus normaux.
En effet, j’ai personnellement fait l’erreur, de nombreuses fois, de vouloir communiquer pour « me soulager » alors que j’étais encore en colère et cela n’a jamais été très constructif. Parfois, laisser passer les émotions est le meilleur moyen de régler une situation calmement.
2.Ensuite, nous pouvons nous habituer à canaliser cette énergie en l’utilisant différemment. Par exemple, personnellement, la colère que je peux ressentir me met parfois en mouvement et me permet d’agir. En ce sens, trouver des activités qui nous permettent de nous décharger et nous apaiser quotidiennement: activité physique, activité artistiques, changement de lieux, (ou même, aller crier dans les bois…).
En effet, tout est bon à prendre pour laisser la colère s’exprimer sans pour autant impliquer une tierce personne. Il me semble que certains sports de combat sont orientés en ce sens. Bien-sûr, rien de telle que nous faire épauler par un professionnel quand le trop plein nous encombre vraiment au quotidien et nous empêche d’être serein.
3.De plus, prendre l’habitude de s’observer est essentiel. Par exemple, cela passe par des questions que l’on peut se poser : Pourquoi est-ce que je me mets en colère ? Qu’est-ce que je ressens? Dans quel environnement suis-je? Avec qui ? Est-ce un scénario fréquent ?
Pour cela, je trouve que tenir un cahier de notes où nous indiquons nos états d’âmes, nos prises de conscience et nos avancements, aide énormément. En effet, ceux qui veulent le garder le peuvent, sinon, nous pouvons tout simplement le jeter si nous avons envie que tous nos maux du passés, disparaissent.
3. Comment se débarrasser de la colère ?
Pour commencer, nous pouvons nous apaiser, quotidiennement en adoptant un état d’esprit sain et positif. En effet, c’est un travail de tous les jours, qui nécessite de la volonté. Par exemple, l’inconscient se dompte et des techniques précises existent pour se faire. « Le bonheur est une décision » et ça, même notre colère peut le comprendre 🙂
Par contre, nous avons le droit, qui que nous soyons, de « péter les plombs » et de laisser la colère s’exprimer quand certaines situations nous dépassent. En effet, nous ne sommes ni parfaits ni des savants, dans le contrôle permanent. En ce sens, nous sommes humains et nous jouons avec nos polarités. La colère peut nous faire prendre conscience de nos valeurs et nous aligner avec notre vérité profonde. Pour cela, voici quelques conseils qui me sont utiles:
SE REMETTRE EN QUESTION
Est réellement le moyen de cesser d’entretenir un « scénario répétitif ». En effet, nourrir la colère peut se transformer en haine sur le long terme. Cette haine se retourne forcément contre nous-même. Par exemple, 5 minutes de colère équivaut à 5h durant lesquelles le système immunitaire réduit a néant. De très grandes difficultés émotionnelles apparaissent aussi, par la suite.
« Le cortisol, en masse est un poison pour le corps » David Lefrançois
SE PARDONNER & PARDONNER À L’AUTRE
L’exemple le plus significatif est de mettre de l’amour dans notre vie. Comme dirait Nathalie Lefevre, c’est un « exhausteur de goût ». En effet, ce processus s’apprend car nous avons tous en nous le pouvoir de développer la compassion, l’empathie et l’estime de soi. Ainsi, ce n’est pas parce que l’on nous a pas appris à le faire, que l’on ne peut pas changer les choses. Bien au contraire ! D’ailleurs, je crois que nous devrions apprendre dès notre plus jeune âge, à l’école et en famille, comment prendre soin de nous et des autres. Mais aussi, comment cultiver des relations saines.En ce sens, nous pouvons nous éduquer nous-mêmes, auprès des personnes qui nous inspirent et qui nous font vibrer. Qu’en pensez-vous ?
SE POSER LES BONNES QUESTIONS
Même si nous pouvons ressentir de la colère, nous pouvons décider d’écouter ou non cette part de nous-même. Pour aller plus loin, nous pouvons entamer un travail d’analyse avec ces questions: est-ce mon orgueil, ma bêtise, mes lourdeurs ? Ai-je du ressentiment envers cette personne? Suis-je en colère contre moi-même ? Qu’est-ce qui me soulagerait ?
De ce fait, des réponses viendront automatiquement à vous. Soyez à l’écoute 🙂
ECOUTER SES BESOINS
Afin d’être en harmonie avec nous-même, notre environnement, notre entourage, il est très important de pouvoir connaître nos désirs. En effet, plus nous en avons conscience, et plus nous pouvons manifester la vie de nos rêves dans la matière. En ce sens, toutes les colères, frustrations, blessures refoulées nous encombrent. Par exemple, elles marquent notre corps en se cristallisant. D’ailleurs, faire des entretiens régulier envers nous-même, sans filtre, peut nous permettre de soigner notre santé. De plus, cela nous aide à cultiver des relations saines et de booster l’image que nous avons de nous-même.
ALLER PLUS LOIN
En résumé, nous pouvons tous travailler sur nous-même. En effet, c’est une décision. D’ailleurs, sur le plan énergétique, nous attirons des situations terriblement compliquées lorsque nous entretenons notre colère. Par exemple, elle se manifeste au travers de nos pensées. En fait, nous recevons ce que nous demandons. C’est la réalité quantique ! Donc, nous gagnons vraiment tout à stopper ce processus le plus vite possible pour nous focaliser sur les projets qui nous animent. De toute évidence, notre bonheur est primordial.
Conclusion
« La colère est la meilleure stratégie pour échouer »
En somme, développer des techniques gagnantes au quotidien pour comprendre nos processus internes et changer les choses, nous change.En effet, apprendre à nous exprimer de manière calme et apaisée est un art qui se travaille. De ce fait, considérer l’autre autant que nous considérons nos sentiments est salvateur. D’ailleurs, prendre conscience que tout ce qui résiste, s’imprime en nous, nous aide à cheminer. Alors, relisons les accords toltèques autant de fois que nécessaire. Faisons la paix avec notre passé et les évènements douloureux que nous avons pu vivre. Et, ainsi, vivons heureux 🙂
Je m’appelle Julia et je suis thérapeute. Passionnée par le fonctionnement humain, je suis spécialisée dans l’accompagnement holistique (lien corps/esprit). Je suis actuellement une formation de pratique à la psychothérapie
Tout d’abord, la colère est une émotion intelligente. En fait, c’est une émotion dite « archaïque ». Ce mécanisme de défense nous permet parfois de nous en sortir dans des situations difficiles, voire, de survivre. D’ailleurs, je remarque souvent qu’elle peut nous porter préjudice si nous n’avons pas conscience de notre manière de l’exprimer.
En ce sens, la colère nous sert seulement si nous l’utilisons à bon escient. En effet, comprendre ses caractéristiques, ses critères de manifestation ainsi que le rôle qu’elle peut jouer dans nos vies, nous aidera à l’accueillir. Par exemple, nous pourrons être plus vigilant et apprendre à l’exprimer sans agressivité afin de ne plus nous tromper d’adversaire. Parce que, finalement, nous pouvons parfois utiliser la colère contre nous-même.
Effectivement, dans une démarche plus globale, la colère peut faire partie de nos moments de malheur car nous sommes pris dans une émotion désagréable. Et pourtant, ces moments-là sont déterminants pour notre évolution. J’en parle dans cet article que je vous encourage vivement à découvrir, pour décomplexer et déculpabiliser 🙂
1.La colère en psychothérapie:
Comprendre que notre colère est associée à une zone de limite qui peut avoir été franchie par une tierce personne, déculpabilise. D’abord, je pense que nous vivons tous, au moins une fois dans notre vie, un scénario dans lequel nous avons ressenti de la colère au point de nous emporter, sans trop comprendre pourquoi. Cette colère peut se résumer à un schéma inconscient selon lequel nous croyons que : « L’autre est en train de froisser l’une de mes règles/normes de vie »
Cependant, ce n’est pas forcément la réalité. C’est ce l’on peut interpréter et ressentir d’une situation. En effet, selon David Lefrançois, la colère est reliée à l’orgueil. Il reprend cette phrase que je trouve très intéressante:
« L’orgueil, c’est la dignité des nuls »
L’orgueil empêche de se remettre en question et entretien un cercle vicieux de « victimisation ». D’ailleurs, l’orgueilleux pense que la faute vient de l’autre, de l’extérieur. Il n’a pas forcément tort ! Une situation dépend de deux personnes, mais notre interprétation jouera un facteur-clé dans le scénario que nous nous racontons.
2.Quel besoin derrière la colère?
Pour commencer, je suis partisante du « creuser pour se comprendre ».D’ailleurs, je pense que tout à une explication, et au delà de nous occuper au quotidien, nous comprendre est un réel moyen de revenir à nos fondements. En effet, j’ai bien l’impression que deux cas de figures sont observables. Soit nous ne ressentons pas de colère du tout, soit elle peut être exacerbée. Il peut en découler une communication agressive.
D’ailleurs, cette émotion est un peu perçue comme l’émotion à fuir. Mais en fait, en y réfléchissant, je pense que l’on peut la transformer pour en faire une énergie créative. D’ailleurs, comme tout ce que nous ressentons et manifestons, la colère a quelque-chose à nous révéler de nous-même. Nous n’avons qu’à enquêter pour l’analyser.
Etant donné que notre colère nous sert d’indicateur plus ou moins fiable, ces quelques clés pourront vous être utiles:
1. Tout d’abord, utiliser la communication non violente pour exprimer un besoin, un ressentiment ou une demande. Par exemple, « Je ressens que » ou » Cela me touche que ». En effet, nous ne pourrons nous faire entendre si nous sommes dans un processus d’accusation. La colère exprimée de manière agressive est stérile.
En revanche, entendre, écouter et comprendre l’autre demande une grande capacité d’écoute. Qui devrait, pourtant, être un process des plus normaux.
En effet, j’ai personnellement fait l’erreur, de nombreuses fois, de vouloir communiquer pour « me soulager » alors que j’étais encore en colère et cela n’a jamais été très constructif. Parfois, laisser passer les émotions est le meilleur moyen de régler une situation calmement.
2.Ensuite, nous pouvons nous habituer à canaliser cette énergie en l’utilisant différemment. Par exemple, personnellement, la colère que je peux ressentir me met parfois en mouvement et me permet d’agir. En ce sens, trouver des activités qui nous permettent de nous décharger et nous apaiser quotidiennement: activité physique, activité artistiques, changement de lieux, (ou même, aller crier dans les bois…).
En effet, tout est bon à prendre pour laisser la colère s’exprimer sans pour autant impliquer une tierce personne. Il me semble que certains sports de combat sont orientés en ce sens. Bien-sûr, rien de telle que nous faire épauler par un professionnel quand le trop plein nous encombre vraiment au quotidien et nous empêche d’être serein.
3.De plus, prendre l’habitude de s’observer est essentiel. Par exemple, cela passe par des questions que l’on peut se poser : Pourquoi est-ce que je me mets en colère ? Qu’est-ce que je ressens? Dans quel environnement suis-je? Avec qui ? Est-ce un scénario fréquent ?
Pour cela, je trouve que tenir un cahier de notes où nous indiquons nos états d’âmes, nos prises de conscience et nos avancements, aide énormément. En effet, ceux qui veulent le garder le peuvent, sinon, nous pouvons tout simplement le jeter si nous avons envie que tous nos maux du passés, disparaissent.
3. Comment se débarrasser de la colère ?
Pour commencer, nous pouvons nous apaiser, quotidiennement en adoptant un état d’esprit sain et positif. En effet, c’est un travail de tous les jours, qui nécessite de la volonté. Par exemple, l’inconscient se dompte et des techniques précises existent pour se faire. « Le bonheur est une décision » et ça, même notre colère peut le comprendre 🙂
Par contre, nous avons le droit, qui que nous soyons, de « péter les plombs » et de laisser la colère s’exprimer quand certaines situations nous dépassent. En effet, nous ne sommes ni parfaits ni des savants, dans le contrôle permanent. En ce sens, nous sommes humains et nous jouons avec nos polarités. La colère peut nous faire prendre conscience de nos valeurs et nous aligner avec notre vérité profonde. Pour cela, voici quelques conseils qui me sont utiles:
SE REMETTRE EN QUESTION
Est réellement le moyen de cesser d’entretenir un « scénario répétitif ». En effet, nourrir la colère peut se transformer en haine sur le long terme. Cette haine se retourne forcément contre nous-même. Par exemple, 5 minutes de colère équivaut à 5h durant lesquelles le système immunitaire réduit a néant. De très grandes difficultés émotionnelles apparaissent aussi, par la suite.
« Le cortisol, en masse est un poison pour le corps » David Lefrançois
SE PARDONNER & PARDONNER À L’AUTRE
L’exemple le plus significatif est de mettre de l’amour dans notre vie. Comme dirait Nathalie Lefevre, c’est un « exhausteur de goût ». En effet, ce processus s’apprend car nous avons tous en nous le pouvoir de développer la compassion, l’empathie et l’estime de soi. Ainsi, ce n’est pas parce que l’on nous a pas appris à le faire, que l’on ne peut pas changer les choses. Bien au contraire ! D’ailleurs, je crois que nous devrions apprendre dès notre plus jeune âge, à l’école et en famille, comment prendre soin de nous et des autres. Mais aussi, comment cultiver des relations saines.En ce sens, nous pouvons nous éduquer nous-mêmes, auprès des personnes qui nous inspirent et qui nous font vibrer. Qu’en pensez-vous ?
SE POSER LES BONNES QUESTIONS
Même si nous pouvons ressentir de la colère, nous pouvons décider d’écouter ou non cette part de nous-même. Pour aller plus loin, nous pouvons entamer un travail d’analyse avec ces questions: est-ce mon orgueil, ma bêtise, mes lourdeurs ? Ai-je du ressentiment envers cette personne? Suis-je en colère contre moi-même ? Qu’est-ce qui me soulagerait ?
De ce fait, des réponses viendront automatiquement à vous. Soyez à l’écoute 🙂
ECOUTER SES BESOINS
Afin d’être en harmonie avec nous-même, notre environnement, notre entourage, il est très important de pouvoir connaître nos désirs. En effet, plus nous en avons conscience, et plus nous pouvons manifester la vie de nos rêves dans la matière. En ce sens, toutes les colères, frustrations, blessures refoulées nous encombrent. Par exemple, elles marquent notre corps en se cristallisant. D’ailleurs, faire des entretiens régulier envers nous-même, sans filtre, peut nous permettre de soigner notre santé. De plus, cela nous aide à cultiver des relations saines et de booster l’image que nous avons de nous-même.
ALLER PLUS LOIN
En résumé, nous pouvons tous travailler sur nous-même. En effet, c’est une décision. D’ailleurs, sur le plan énergétique, nous attirons des situations terriblement compliquées lorsque nous entretenons notre colère. Par exemple, elle se manifeste au travers de nos pensées. En fait, nous recevons ce que nous demandons. C’est la réalité quantique ! Donc, nous gagnons vraiment tout à stopper ce processus le plus vite possible pour nous focaliser sur les projets qui nous animent. De toute évidence, notre bonheur est primordial.
Conclusion
« La colère est la meilleure stratégie pour échouer »
En somme, développer des techniques gagnantes au quotidien pour comprendre nos processus internes et changer les choses, nous change.En effet, apprendre à nous exprimer de manière calme et apaisée est un art qui se travaille. De ce fait, considérer l’autre autant que nous considérons nos sentiments est salvateur. D’ailleurs, prendre conscience que tout ce qui résiste, s’imprime en nous, nous aide à cheminer. Alors, relisons les accords toltèques autant de fois que nécessaire. Faisons la paix avec notre passé et les évènements douloureux que nous avons pu vivre. Et, ainsi, vivons heureux 🙂
Je m’appelle Julia et je suis thérapeute. Passionnée par le fonctionnement humain, je suis spécialisée dans l’accompagnement holistique (lien corps/esprit). Je suis actuellement une formation de pratique à la psychothérapie
Intéressant ! J’adore le passage où vous dites que l’on devrait apprendre à connaître nos émotions et à développer des relations à l’école. Il me semble que c’est un impératif et que cela est beaucoup plus important que certaine matière enseignée à l’école.
Bonjour Vincent,
Merci pour votre commentaire. Effectivement, cela nous aiderait tellement de pouvoir apprendre cela dès notre plus jeune âge: « je me sens comme cela parce que… ». Nous serions responsables bien plus tôt, et nous gagnerions un temps fou.
Je vous rejoins tout à fait 🙂
Intéressant ! J’adore le passage où vous dites que l’on devrait apprendre à connaître nos émotions et à développer des relations à l’école. Il me semble que c’est un impératif et que cela est beaucoup plus important que certaine matière enseignée à l’école.
Bonjour Vincent,
Merci pour votre commentaire. Effectivement, cela nous aiderait tellement de pouvoir apprendre cela dès notre plus jeune âge: « je me sens comme cela parce que… ». Nous serions responsables bien plus tôt, et nous gagnerions un temps fou.
Je vous rejoins tout à fait 🙂